Dans quatre mois, ce sera le 9 juin, date du scrutin européen en France.
Pour l’instant, les « grands partis » ne sont pas encore dans la course, et les « petits partis » ont bien du mal à éveiller l’intérêt de la population.
Le Rassemblement national est en tête dans les sondages, sans faire campagne : il profite des bourdes, erreurs et divisions de ses adversaires.
Le parti présidentiel cafouille. Son mouvement de jeunesse vient de présenter son logo et son slogan, ce qui lui a valu de nombreuses critiques, voir l’article sur le site e-d-e.fr.
A gauche, trois formations sont entre 5 et 10%, avec un peu d’espoir d’obtenir des eurodéputés.
Le plus attristant est que pour déterminer leur vote, les Français ont surtout comme préoccupation le pouvoir d’achat.
La politique européenne est une chose importante, à ne pas laisser aux politiciens et politiciennes qui ne voient pas plus loin que leur réélection dans leur pays.
Travaillons ensemble pour « donner une âme à l’Europe » (Jacques Delors).